Je dessine toujours et encore, et plus particulièrement des visages, des approches de visages, des « visages périphériques ».

Trait après trait, ligne après ligne, la trame s’épaissit, se constitue, par un long processus obsessionnel et répétitif. A force de patience, émergent des affleurements, une profondeur remonte à la surface : le visage apparaît. Tout est là, presque dissimulé.

C’est fini.

Alors je retourne à mes fantômes : je redessine.