« Je ne supporte pas ce qui n’est pas déchiré. Je ne supporte que les femmes qui ont essuyé un sale temps, se sont effondrées, déchirées en morceaux et se
Noirceur festive. Sur le fil instable, entre la frivolité et le macabre, le grotesque et le fantasque, dans l’ombre et la noirceur, sous les ailes des géants : Shakespeare, Goya, Baudelaire,
« En tout climat, sous tout soleil,La mort t’admireEn tes contorsions, risible humanitéEt souvent, comme toi, se pavanant de myrrheMêle son ironie à ton insanité. » Charles Baudelaire, « Danse macabre »
« La vision de Bernard Briantais s’exprime à la fois par une critique de la société assez grinçante et par un univers onirique très présent. Comme si les deux faisaient partie
« Où est l’errance ? Dans les yeux usés et les mains sales des pauvres ou dans les regards avides et les bouches inassouvies de celles et ceux qui feront tout pour
« Vous le verrez peut-être, vous la verrez parfois en pluie et en chagrinTraverser le présent en s’excusant déjà de n’être pas plus loin » Jacques Brel, « Les vieux
Je récupère de vieux guides Baedeker dont les plans de ville me servent de trame. En suivant des routes imaginaires, mon crayon trace des itinéraires improbables qui finissent par former