Noirceur festive. Sur le fil instable, entre la frivolité et le macabre, le grotesque et le fantasque, dans l’ombre et la noirceur, sous les ailes des géants : Shakespeare, Goya, Baudelaire, Dostoïevski se tiennent ces dessins. Dans décadence résonne le mot danse.

Bernard Briantais

« Un néant follement attifé »

Charles Baudelaire, « Danse macabre »