« Je ne supporte pas ce qui n’est pas déchiré. Je ne supporte que les femmes qui ont essuyé un sale temps, se sont effondrées, déchirées en morceaux et se sont rétablies à gros points de suture, de coupures irrégulières sans rien de joli. Alors quelque chose émane d’elles et brille. Mais celles qui brillent en déployant leur brillant, les rouleuses de fesses, en toute honnêteté, je ne les aime pas. Mais pas du tout. »

Andrea Dworkin