Gotha des rues 2
« Je ne supporte pas ce qui n’est pas déchiré. Je ne supporte que les femmes qui ont essuyé un sale temps, se sont effondrées, déchirées en morceaux et se
Grotesque noirceur
Noirceur festive. Sur le fil instable, entre la frivolité et le macabre, le grotesque et le fantasque, dans l’ombre et la noirceur, sous les ailes des géants : Shakespeare, Goya, Baudelaire,
Sombres rencontres
« En tout climat, sous tout soleil,La mort t’admireEn tes contorsions, risible humanitéEt souvent, comme toi, se pavanant de myrrheMêle son ironie à ton insanité. » Charles Baudelaire, « Danse macabre »
Gotha des rues 1
« La vision de Bernard Briantais s’exprime à la fois par une critique de la société assez grinçante et par un univers onirique très présent. Comme si les deux faisaient partie
Paris panade
« Où est l’errance ? Dans les yeux usés et les mains sales des pauvres ou dans les regards avides et les bouches inassouvies de celles et ceux qui feront tout pour
Cloué au sol
« Nous sommes tous dans le caniveau, mais certains d’entre nous regardent les étoiles. » Oscar Wilde
Les enluminés
Drôles ou inquiétants, pitoyables ou sublimes, c’est ainsi que Bernard Briantais donne à voir les vagabonds qui vivent aux marges de nos sociétés. Se servant d’ardoises d’écolier et encadrant ses